K.O.G
Don't Take My Soul
Sortie le 13 septembre 2024
Label: Heavenly Sweetness
Un masque ou un groupe, K.O.G. (pour Kweku Of Ghana) a toujours aimé se cacher, une manière pour lui de se dévoiler le moins possible. Préférer se créer des personnages fantasques pour ne pas montrer qui il est. Qui il est vraiment.
Un masque ou un groupe, K.O.G. (pour Kweku Of Ghana) a toujours aimé se cacher, une manière pour lui de se dévoiler le moins possible. Préférer se créer des personnages fantasques pour ne pas montrer qui il est. Qui il est vraiment.
Mais, depuis Zone 6, Agege, son premier album solo, l’armure laisse passer la lumière. Avec Don’t Take My Soul, K.O.G. a choisi d’abaisser le voltage pour ne plus dissimuler ses faiblesses derrière des arcs d’énergie pure. Au contraire, elles sont maintenant exposées au grand jour dans toute leur vulnérabilité. “Je n’ai plus peur de montrer un visage complètement différent de ma musique, d’être plus soulful et moins fou”.
Empreint à une somme d’interrogations, partagé depuis des années entre le Ghana qui l’a vu naître et l’Angleterre qui l’a adopté, K.O.G s’interroge sur la place de son âme, de sa soul. Écartelée entre ces deux pays qui sont devenus les siens, dans cette dualité sur laquelle K.O.G. s’est construit, où se situe-t-elle vraiment ? Dans sa culture et son art est le premier niveau de réponse, mais l’espace est immense et lui-même ne l’a pas encore exploré complètement.
“En me plaçant au croisement des deux, j’ai pu comprendre à quel point j’étais connecté à la musique du Ghana mais aussi comment, vivre en Angleterre, avec mes enfants et ma famille, avait pu influencer ma musique”.
Mais, qu’importe le continent sur lequel il se trouve, K.O.G. n’a jamais cessé de créer. Avec, là aussi, la dualité de son âme qui s’exprime.
Ses amis d’enfance avec lesquels il joue depuis toujours en Afrique ; ceux venus d’Australie, d’Ecosse ou d’ailleurs qui l’attendent à Sheffield devenus ses frères avec le temps, K.O.G. a partagé l’enregistrement de Don’t Take My Soul entre ses deux groupes. Effaçant d’un’ coup les 5000 km séparant le Ghana de l’Angleterre. Il n’a jamais été question de couleur mais de personnalités, d’individus. L’important est ce qu’ils jouent et ce que Kweku partage avec eux. Eux qui, quel que soit l’endroit où il se pose, le comprennent quand il s’agit de s’exprimer en musique.
“Il ne peut pas y avoir de lumière sans ténèbres. Pour que la lumière puisse s’exprimer et devenir une force, il doit y avoir une part de ténèbres”.
Capable désormais d’évoquer ses douleurs et ses craintes, K.O.G. a choisi de puiser dans l’afrobeat et le highlife pour exprimer les facettes les moins dures de sa personnalité. Encore une dualité. Celle du highlife dansant et de l’afrobeat guerrier dont les cuivres d’ordinaire martiaux ont muté en zébrures pour baliser le chemin initiatique de K.O.G. La présence de Sirènes africaines prêtant voix rassurantes à son cheminement, chahuté par les échos dub surgis des riddim, c’est en pistant le chaloupé et la
nonchalance des guitares, que son parcours l’a mené jusqu’à ses compatriotes Fameye et Ogunskele, mais aussi jusqu’à la sagesse de Pat Thomas figure tutélaire de la musique Ghanéenne.
Avec ce voyage introspectif réalisé par Guts, K.O.G signe un acte de paix avec lui-même. Fusion de l’Afrique et de l’Europe dans un seul homme dont les chansons, qu’importe où et par qui elles ont été jouées et enregistrées, ne portent ni couleur ni drapeau.
“Cet album est un voyage personnel qui parle de trois choses. Ma communauté, là d’où vient mon inspiration. Les racines highlife, soul, l’église, les cérémonies traditionnelles. Enfin, amener les gens à l'origine même de ma voix, de mes impulsions, de ma culture”
Pour ne plus former qu'une seule et même âme.
Mais, depuis Zone 6, Agege, son premier album solo, l’armure laisse passer la lumière. Avec Don’t Take My Soul, K.O.G. a choisi d’abaisser le voltage pour ne plus dissimuler ses faiblesses derrière des arcs d’énergie pure. Au contraire, elles sont maintenant exposées au grand jour dans toute leur vulnérabilité. “Je n’ai plus peur de montrer un visage complètement différent de ma musique, d’être plus soulful et moins fou”.
Empreint à une somme d’interrogations, partagé depuis des années entre le Ghana qui l’a vu naître et l’Angleterre qui l’a adopté, K.O.G s’interroge sur la place de son âme, de sa soul. Écartelée entre ces deux pays qui sont devenus les siens, dans cette dualité sur laquelle K.O.G. s’est construit, où se situe-t-elle vraiment ? Dans sa culture et son art est le premier niveau de réponse, mais l’espace est immense et lui-même ne l’a pas encore exploré complètement.
“En me plaçant au croisement des deux, j’ai pu comprendre à quel point j’étais connecté à la musique du Ghana mais aussi comment, vivre en Angleterre, avec mes enfants et ma famille, avait pu influencer ma musique”.
Mais, qu’importe le continent sur lequel il se trouve, K.O.G. n’a jamais cessé de créer. Avec, là aussi, la dualité de son âme qui s’exprime.
Ses amis d’enfance avec lesquels il joue depuis toujours en Afrique ; ceux venus d’Australie, d’Ecosse ou d’ailleurs qui l’attendent à Sheffield devenus ses frères avec le temps, K.O.G. a partagé l’enregistrement de Don’t Take My Soul entre ses deux groupes. Effaçant d’un’ coup les 5000 km séparant le Ghana de l’Angleterre. Il n’a jamais été question de couleur mais de personnalités, d’individus. L’important est ce qu’ils jouent et ce que Kweku partage avec eux. Eux qui, quel que soit l’endroit où il se pose, le comprennent quand il s’agit de s’exprimer en musique.
“Il ne peut pas y avoir de lumière sans ténèbres. Pour que la lumière puisse s’exprimer et devenir une force, il doit y avoir une part de ténèbres”.
Capable désormais d’évoquer ses douleurs et ses craintes, K.O.G. a choisi de puiser dans l’afrobeat et le highlife pour exprimer les facettes les moins dures de sa personnalité. Encore une dualité. Celle du highlife dansant et de l’afrobeat guerrier dont les cuivres d’ordinaire martiaux ont muté en zébrures pour baliser le chemin initiatique de K.O.G. La présence de Sirènes africaines prêtant voix rassurantes à son cheminement, chahuté par les échos dub surgis des riddim, c’est en pistant le chaloupé et la
nonchalance des guitares, que son parcours l’a mené jusqu’à ses compatriotes Fameye et Ogunskele, mais aussi jusqu’à la sagesse de Pat Thomas figure tutélaire de la musique Ghanéenne.
Avec ce voyage introspectif réalisé par Guts, K.O.G signe un acte de paix avec lui-même. Fusion de l’Afrique et de l’Europe dans un seul homme dont les chansons, qu’importe où et par qui elles ont été jouées et enregistrées, ne portent ni couleur ni drapeau.
“Cet album est un voyage personnel qui parle de trois choses. Ma communauté, là d’où vient mon inspiration. Les racines highlife, soul, l’église, les cérémonies traditionnelles. Enfin, amener les gens à l'origine même de ma voix, de mes impulsions, de ma culture”
Pour ne plus former qu'une seule et même âme.
GUITAR - Ben Haskins , Dennis Osei - Plange, Tom Excell, Owen Burns
BASS - Owen Burns , Gladiel Amoah
DRUMS - Theo Goss, Abraham Appiah Adubofour (Apankus)
KEYS - Jasper Green , Isaac Dodoo (Dromo)
SAX - Harry Fowler , Ben Powling , Anthony Ansah (Kali) T
RUMPET - Felix Burling, Prince Saka
TROMBONE - Elikplim Amewode
PERCUSSION - Okoe Amartey- Fio
BARITONE - Ben Powling VOCALS - K.O.G, Amy Clark, Sunday lendis, Amba Illingworth.
ADDITIONAL VOCALS - Susan Augustt, Nadia Obeng, Aziza Jaye
PRODUCED by GUTS
BASS - Owen Burns , Gladiel Amoah
DRUMS - Theo Goss, Abraham Appiah Adubofour (Apankus)
KEYS - Jasper Green , Isaac Dodoo (Dromo)
SAX - Harry Fowler , Ben Powling , Anthony Ansah (Kali) T
RUMPET - Felix Burling, Prince Saka
TROMBONE - Elikplim Amewode
PERCUSSION - Okoe Amartey- Fio
BARITONE - Ben Powling VOCALS - K.O.G, Amy Clark, Sunday lendis, Amba Illingworth.
ADDITIONAL VOCALS - Susan Augustt, Nadia Obeng, Aziza Jaye
PRODUCED by GUTS
