Akagera

En 2019, le premier album « Serpente », subtile alliance de musique africaine et de jazz, jetait les bases d’un nouveau son porté par l’instrumentation atypique du trio Akagera. Leur nouvel album « Traverse » est une mise en son du carnet de voyage intérieur des trois musiciens baroudeurs contraints de poser leurs valises.
En 2019, le premier album « Serpente », subtile alliance de musique africaine et de jazz, jetait les bases d'un nouveau son porté par l'instrumentation atypique du trio Akagera. Leur nouvel album « Traverse » est une mise en son du carnet de voyage intérieur des trois musiciens baroudeurs contraints de poser leurs valises.



A partir de séances d'improvisation ils ont pris le temps pendant trois ans de composer collectivement un répertoire reflétant la diversité de leurs parcours et influences : la musique classique et contemporaine pour Benoit, les musiques métissées d'Amérique du Sud et des Caraïbes pour Stéphane et les rythmes africains et grooves brésiliens pour David tout en réaffirmant leur passion commune pour le jazz.

Expérimenté, expérimental, instrumental et viscéralement original, ce nouveau trio serpente aux confins d’un jazz farouche et joueur aux orchestrations totalement nouvelles.



Imaginé comme un clin d’œil et un hommage à l’album AKAGERA, sorti en 1980 par le trio Humair, Jeanneau, Texier, ce nouveau trio a bien l’intention de creuser son propre sillon.



Comme leurs illustres aînés, le Trio Akagera puise ses influences dans la musique africaine (Akagera est le nom d’une réserve naturelle au Rwanda, à la frontière tanzanienne) mais aussi dans le jazz et la musique contemporaine dite répétitive.



DAVID GEORGELET. Batterie - Membre fondateur du quintet de Youn sun Nah qu’il a accompagnée pendant plus de 8 ans, il tient les futs du combo ethio-jazz Akalé Wubé (ethio jazz) et de Cotonote (funk) depuis leurs débuts, du quintet de Florian Pellissier, des trios avec François Chesnel avec Yoni Zelnik ou Pierre Durand. A joué ou enregistré avec Manu Dibango, Chico Buarque, Cheick Tidiane Seck, Girma Bèyènè & Mahmoud Ahmed, Arthur H, Anthony Joseph, Samy Daussat et Tchavolo Schmitt, Vincent Peirani, JY Dubanton & JC Laudat, Nico Gori, Sandro Zérafa...

BENOIT LAVOLLEE. Vibraphone/Marimba - A étudié les percussions classiques avant de découvrir le jazz et les musiques improvisées. On peut l’entendre avec l’orchestre symphonique d’Orléans, l’orchestre de la région centre, le collectif Paint Atonik, le septet Hobo Whistle de JC Cholet, le big band The Mallet Horn jazz Band, 4,5G/Richter mais aussi aux cotés des chanteurs Fred Metayer et Xavier Stubbe, C’est au sein du trio Lavollée-Dubreuil-Larmignat qu’il a reçu le 1er prix de soliste au 33ème concours national de jazz de La Défense en 2010.

STEPHANE MONTIGNY. Trombone basse - Spécialiste des musiques afro-colombiennes, on le retrouve aux quatre coins du monde avec la fanfare La Belle Image, Yapunto et les plus grands noms de la salsa. Il a étudié avec Glenn Ferris dans la classe de jazz du CNSM et à l’école des big-bands parisiens. Co-leader du quartet Le Monde de Kota et maintenant de Groov'Bones avec le bassiste Thierry Fanfant, il a joué ou enregistré avec Dionysos, Raul Paz, DJ Zebra, Oldelaf, Marcel Khalife, Din Rotsaka...